L'auteur
Nadaus Roland

Présentation

Né en 1945 à Paris, Roland Nadaus est l’auteur d’une trentaine d’ouvrages. Dès ses 17 ans, certaines revues publient ses écrits en France et en Belgique. Poète, romancier, conteur, pamphlétaire, il a mené parallèlement une carrière d’élu et de bâtisseur de ville. Il participe à de nombreuses revues francophones dans différents pays.
Maire de Guyancourt (près de Versailles) depuis 20 ans, il a consacré une part importante de son action municipale à soutenir la poésie et les poètes : de nombreuses rues et de nombreux bâtiments publics y portent des noms de poètes et c’est à Guyancourt Saint-Quentin-en-Yvelines que vient d’être bâtie la plus récente et la plus moderne Maison de la Poésie en Europe.

Bibliographie

Bibliographie sélective

Poésie

- Maison de paroles, Éditions Mercure de France, 1969
- A un clerc de Babel, Éd. Lieu Commun, 1972
- 39 prières pour le commun du temps, Éd. Jacques Brémond, 1979
- Écrits d’avant l’écriture, Éd. La Bartavelle, 1991
- Je ne tutoie que Dieu et ma femme, Éd. Jacques Brémond, 1992
- Lettre à Saint Glinglin, Éd. Jacques Brémond, 1995
- Esopiennes, fables en prose, Éd. La Bartavelle, 1996
- En cas d’urgence, quintils, Éd. Gros Textes, 1999
- Le Chat (du Chester) d’Alice, Éd. Alain Benoît, 1999
- Qu’la Commune n’est pas morte, Éd. Encres vives, 2001
- Le Sentiment du pas grand chose, Éd. Clapàs, 2002
- Vivre quand même parce que c’est comme ça (anthologie par J.Fournier), Éd. Le Dé Bleu ,2004

Romans, pamphlets et autres :

- Journal-vrac, Éd. Rupture 1981
- Malamavie, Éd. Rupture 1982
- Lettre aux derniers mohicans de la République, Éd. Jacques Brémond, 1992
- L’Homme que tuèrent les mouches, Éd. Gaïa, 1996
- Dictionnaire du jargot des cibistes, Éd. Lacour, 1997
- Le Cimetière des sans-nom, éD. Gaïa, 1999
- On meurt même au Sénat, Éd. Nykta, 1999
- Je ne veux pas mourir yanki, Éd. Les Cahiers bleus, 2000
- LoupGouloup et la lune, Éd. Bayard, 2002


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« Maintenant, voici venu pour moi le temps de me décider à faire retour en arrière, de tenter de trousser congrûment quelque chose à ma guise, une sorte d’écriture pure de tout sens civique. Le besoin est sans doute inscrit dans les gènes : pressentiment reptilien que tout disparaîtra d’un coup.
Dany, Piteur, Olivier, il n’y a plus au monde une seule trace d’eux. Tout ce qui reste est en moi. »
Sylvain Fourcassié
Les Madones du trottoir

Aux éditions Cadex