Où qu’on va après ?
Chantal Dupuy-Dunier

9,00  (8,53  HT)

Où qu'on va après ?, Chantal Dupuy-Dunier, illustrations de Elena Ojog, poèmes, collection « Le Farfadet bleu », 11x19,2 cm, 48 p., 2005, ISBN : 9782840312475 Sélection Prix Lire et faire lire 2010

Présentation

« La mort, c’est simplement : Ça dort.
Tout ce qui vivait, tous ensemble
les fleurs, les chats, les hommes..
 ».

Loin des clichés employés habituellement pour parler aux enfants de la mort, des fables inventées par les « grands » pour répondre à leurs questions, l’auteur choisit la simple vérité, revisitée par la poésie et l’humour.

« C’est la mort au bois dormant,
un conte à dormir couché.
 »

Un livre de poèmes pas triste sur la mort...
Pas toujours facile de répondre aux questions des petits ou des ados : “C’est quoi la mort ?”, “Y a quoi après ? “, ou encore, “Elle est partie où, Mamie ?” Ce petit livre de poèmes, intitulé
Où qu’on va après ? et joliment illustré, peut aider à dédramatiser, et parler de ce grand mystère, dont, finalement, on sait si peu de chose...
Des poèmes autour de la mort, quelle drôle d’idée ! Pas si farfelu que ça, en y regardant de plus près. Chantal Dupuy-Dunier est poète, et aussi accessoirement, psychologue -clinicienne dans un hôpital de Clermont-Ferrand. Elle vit donc en Haute-Loire, et on l’imagine volontiers entourée de chats, dans une grande maison chaleureuse. Elle anime aussi des ateliers d’écriture et va lire ses poèmes dans les écoles. Son dernier livre, léger comme une plume, parle de choses graves, la mort, la disparition, des hommes, des enfants, des chiens, des oiseaux. Ceux qu’on aime, en somme. Ça n’est pas gnan-gnan, et d’une simplicité enfantine. (...) Il y a même de l’humour : “Tout ce qui compose notre corps /continue à vivre/”Rien ne se perd, rien ne se crée”/qu’a dit un autre savant/(ce qui ne l’a pas empêché de mourir”.
Avec des dessins beaux et originaux, un brin surréalistes, signés Elena Ojog, une jeune artiste moldave au crayon très sûr. Le tout respire la sérénité, et fait sourire à travers les larmes.

 Cécile Abdessalam, Prima : Des poèmes pour parler de la mort aux enfants (et aux autres)...

Article de Pierre Guelff et lien audio sur le site frequenceterre.com, cliquez ici.

Extrait

Oui c’est pas juste,
mais c’est drôlement économique.
Avec de la poudre de roses,
des poils de minet
et des os de papis,
ça fait des nouvelles plantes,
de nouveaux animaux
et de nouveaux hommes

Votre panier

Votre COMPTE

Non connecté

« J’étais nu près de Deborah nue, nos moiteurs s’évitaient à présent, nous souriions vaguement et parallèlement à un ventilateur harassé qui grinçait au plafond. Il y avait une douceur extrême à ne plus se sentir beaux ni désirés. Nous n’avons pas dormi, je pense. Quoique le dos collé au drap, nous avons flotté sous d’invisibles palmes. »
François Salvaing
De purs désastres, édition aggravée

Le plasticien

La Collection

Zoophile contant fleurette La Couleur tensive Villégiatures & Cie Lettre d’Afrique à une jeune fille morte Banlieue nord Fidèles félidés Poèmes et lettres d’amour La Langue au chat Tu me libellules Un alibi de rêve La poésie est facile Opéré bouffe Prière d’insérer suivi de Cote d’alerte L’Ourlet du ciel Quatre écoutes du tonnerre L’Œuvre au Nord La Close Dans le vent du chemin Ils Petit traité d’éducation lubrique Des garous et des loups La Guerre entre les arbres Le Vingt-deux octobre Encre L’Enfant sur la branche La Liesse populaire en France La Peur et son éclat Lumière des mains, suivi de L’Incessant tourment d’espérances Mi-ville mi-raisin Colomb, Cortez & Cie