Toboggans des maisons Amandine Marembert
publication 15 juin 20099,00 € (8,53 € HT)
Toboggans des maisons, Amandine Marembert, illustrations de couverture et illustrations intérieures (en couleur) de Audrey Calleja, poèmes, collection « Le Farfadet bleu », 11x19,2 cm, 48 p., 2009, ISBN : 978-2-84031-252-9
Présentation
Toboggans des maisons est publié dans la collection « Le Farfadet bleu » des éditions L’Idée bleue. La particularité de cette collection « jeunesse » est de rendre la poésie accessible aux enfants, en leur donnant à lire des textes qui leur parlent et qui les aident à grandir, sans pour autant les infantiliser et les enfermer dans du “prêt-à-lire”. Ces poèmes ne sont donc pas écrits pour un jeune public, mais s’adressent aux lecteurs à partir de 5 ans et jusqu’à plus que centenaires, comme l’indique la quatrième de couverture.
Les éditeurs Louis Dubost et Hélène Boinard ont travaillé ensemble sur ce livre : avec Toboggans des maisons, la collection « Le Farfadet bleu » quitte les éditions L’Idée bleue et poursuit son aventure sous l’enseigne des éditions Cadex. La transmission sera effective fin 2009.
Comment vous dire mon impression après avoir fini de lire le livre : fraîcheur dans l’après-midi ensoleillé. Oui, c’est effectivement une poésie rafraîchissante que nous offre Amandine Marembert avec Toboggans des maisons. Dès le premier poème on est conquis par la justesse du propos et la fraîcheur qui s’en dégage. L’écriture métaphorique nous entraîne dans du sensuel, où les cinq sens sont appelés à nous faire reprendre vie, à nous déciller les yeux, à rafraîchir l’esprit.(...) Un livre léger et profond à la fois, un livre à lire et relire tant cette poésie est subtile.
– Gilbert Desmée, Encres vagabondes, 15/06/09
(...) Au travers de ces flopées d’images qu’elle livre, la poète semble posséder des yeux toujours neufs sur ce qu’elle regarde et le banal devient moins banal. L’exemple du bonheur. De la plénitude.
– Sophie G. Lucas, Terre à ciel, 18/06/09
Préciosité du texte en prose pour dire le quotidien de la maison, du jardin avec chats et oiseaux, des gestes familiers, des saisons. Le minuscule se mêle à l’immensité des jours, des nuits, du ciel. Les textes énigmatiques et légers - par l’absence de ponctuation - évoquent des souvenirs d’enfance, le temps arrêté. La finesse des dessins au crayon brun, avec quelques touches de couleurs, donne une jolie impression d’esquisses.
– Notice du CNLJ-JPL.