Premières poésies (1950-1955)
Marcelin Pleynet

publication 1987
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« J’étais nu près de Deborah nue, nos moiteurs s’évitaient à présent, nous souriions vaguement et parallèlement à un ventilateur harassé qui grinçait au plafond. Il y avait une douceur extrême à ne plus se sentir beaux ni désirés. Nous n’avons pas dormi, je pense. Quoique le dos collé au drap, nous avons flotté sous d’invisibles palmes. »
François Salvaing
De purs désastres, édition aggravée

L’auteur

Le plasticien

La Collection

La Mort est en feu Marie-Gasparine Crobards et mounièques Tacatam Blues Les Mots d’Alice Valleuse Mi-ville mi-raisin Le Bel aujourd’hui Pays simple Toro Trois anciens poèmes mis ensemble pour lui redire je t’aime Des rêves au fond des fleurs Mon chat son chien et le cochon du voisin C’est papa qui conduit le train La Mort de Woyzeck L’Ourlet du ciel L’Enceinte La Chambre bouleversée Billet pour le Pays doré Un habitué des courants d’air Le Congrès d’automne La Liesse populaire en France À la Dublineuse Lavoir de toutes les couleurs Maintenant la nuit Les Choses n’en font qu’à leur tête Chants de la tombée des jours L’Enfance est mon pays natal Couleur jardin Le Voyageur sans voyage