Le Taureau, la rose, un poème
James Sacré

publication 1990
9,50 € (9,00 € HT)

Le Taureau, la rose, un poème, James Sacré, poème, 13 pierres noires de Denise Guilbert, coll. Marine, 15x22 cm, 40p., 1990, ISBN : 2.905910.13.5

Présentation

Où on retrouve le fameux boitement du vers et de la syntaxe, les singuliers mots-béquilles sur lesquels le lecteur comme l’auteur s’appuient pour avancer dans le poème, la simplicité presque archaïque des scènes, qui rapprochent encore le poète de celui qui le lit...
Le taureau dessine / Un geste précis / Et rouge assassine / Le monde et midi.
Où on retrouve aussi les influences poétiques médiévales et orientales, chères à l’auteur nomade...
La mise en page, complice du déhanchement de la langue, rend très fidèlement la singularité du style, dans un va-et-vient très souple de la forme à l’informe.

Extrait

Avec sa fesse en feu souple en soie la femme
Son visage en linges doux avec ses dentelles
Son foin les odeurs sa fouine tiède elle
Travaille à des treillis miraculeux des trames

Votre panier

Votre COMPTE

Non connecté

« Ce que nous entendions par ’peinture’ il y a peu de temps encore n’occupe plus aujourd’hui qu’une place infime dans le territoire de tout ce qui revendique ce nom. »
Christian Prigent
Le Sens du toucher

L’auteur

Le plasticien

La Collection

La Momie de Roland Barthes Les Montagnes du soir Poèmes et lettres d’amour La Traversée des grandes eaux Le Réel Non lieu provisoire Marie-Gasparine La Tombe d’un jeu d’enfant Musée de l’os et de l’eau Prière d’insérer suivi de Cote d’alerte Premières poésies (1950-1955) L’Absent Les Visages et les voix Rien qui porte un nom Pour apprendre la paix à nos enfants Presque le bonheur L’Insu Avant les monstres La Ville autour Fragments d’une ville fantôme L’Homme traversé Ombres classées sans suite Dans la présente abjection des mondes Les Choses n’en font qu’à leur tête Carnets respiratoires Friches Le Congrès d’automne Un habitué des courants d’air Lavoir de toutes les couleurs Dans le vent du chemin