Une cigale dans la tête
Luce Guilbaud

Ouvrage épuisé

Une cigale dans la tête, Luce Guilbaud, illustrations de l'auteur, poèmes, collection « Le Farfadet bleu », coédition avec Les Écrits des Forges, 11x19,2 cm, 48 p., 1998, 7,50€, ISBN : 9782890464230

Présentation

Les poèmes de Luce Guilbaud s’attachent à l’essentiel : le vent du large qui « souffre quand il souffle », le bois mort où « fleurissent les mésanges charbonnières », le chat « qui part, sans dire adieu », les fourmis dans les jambes, l’arbre de Pomonie, les larmes de la nuit qui « deviennent rosée du matin », le « petit nuage fatigué » qui va se coucher « en rond autour du phare »... et les mots pour dire tout cela ? « C’est à ceux pour aimer que je donne mémoire », répond l’auteur.

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« Franck, Victorine et leurs enfants sont présentés devant le juge. La présence des enfants émeut tout le monde, jusqu’aux policiers de la PAF, dont l’un fait jouer Shanee, trois ans, avec l’étui de son pistolet. Le même fabrique des avions en papier dans le hall du tribunal pour la petite fille et répète, alors que je porte l’enfant dans mes bras et la berce : c’est une honte de voir ça, comment on traite les gens. Aujourd’hui, 16 septembre, Franck est parti au Congo. »
Marie Cosnay
Entre chagrin et néant

L’auteur

Le plasticien

La Collection

Marie-Gasparine Chambre de feuilles Matière du temps 2 L’Imaginaire & Matières du seuil Petites proses voyageuses La poésie est facile Un habitué des courants d’air Premières poésies (1950-1955) Une voix pour Orphée Trois anciens poèmes mis ensemble pour lui redire je t’aime 33 Voix Le Perron Variations sur des carnets Nuitamment Le Chant du destin Tombeau de Joseph-Ferdinand Cheval, facteur à Hauterives Fragments d’un désastre Des étoiles sur les genoux Erratiques La hulotte n’a pas de culotte La Chambre bouleversée Le Bruissement des mots Toboggans des maisons Autobiographie d’un autre La Mort de Woyzeck Tu me libellules L’Etoffe des Corps L’Ordinaire, la métaphysique L’Evolution des paysages C’est papa qui conduit le train