Carnets des solitudes
Pleine lucarne
Banlieue nord
Lumière des mains, suivi de L’Incessant tourment d’espérances
L’Œil tourné
Pour mon ours blanc
Une cigale dans la tête
L’Oiseau de nulle part
La hulotte n’a pas de culotte
Faire des études pour être mendiant
Ils
La Close
Toboggans des maisons
Le Congrès d’automne
Les Mots d’Alice
Rien qu’une ombre inventée
Un alibi de rêve
Premières poésies (1950-1955)
La Traversée des grandes eaux
Ne me faites pas dire ce que je n’écris pas
La Halte belge
Maintenant la nuit
L’Homme traversé
La Poignée de porte
Chroniques d’un promeneur assis
Fin’ Amor
Le Faraud séant
Chants de la tombée des jours
Tu me libellules
Poèmes poids plume